il manquait ces bams au coeur, simplement, ces bams dorés de rires et de sirop cassis, il manquait les catapultes sous quelques têtes blondes et enfantines, et puis surtout, les merci qui disent merci. ça sentait les seize ans et les chagrins effacés, les braceletsbrésiliens qui font des voeux, et puis les bonbons. au fond il suffit de rien pour sentir à nouveau la brise qui s'écrase doucement sur nos joues. une perle ou deux, et c'est r'parti.
domingo
j'ai ouvert la cage en la refermant derrière moi. et puis surtout, je t'ai bailloné.
Lundi 19 janvier 2015 à 21:39
0
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://domingo.cowblog.fr/trackback/3271364