détestez-moi, haïssez-moi. mais laissez-moi m'en aller, s'il vous plait,
et puis merci.
ps. c'est pas que je ne parle plus que de ça, de partir donc, c'est juste que j'en peux plus, y a plus d'air dans mes poumons regarde, regarde putain.
domingo
j'ai ouvert la cage en la refermant derrière moi. et puis surtout, je t'ai bailloné.
Mardi 24 septembre 2013 à 23:20
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