deux matelas pour une personne, les nuits sans les bisous qui se faufilent le long de notre peau me semblent étouffantes. ta main sous mon dos et puis cette histoire de peur qui s'en va pour de bon, se répéter que l'on s'aime, et ne se lasser que du temps passé sans l'autre.
c'est décidé, je prends ton coeur pour amant éternel.
ps. " que c'était long hier, que c'est long de s'attendre [..] "
domingo
j'ai ouvert la cage en la refermant derrière moi. et puis surtout, je t'ai bailloné.
Jeudi 15 mai 2014 à 1:40
Commentaires
Par topinambour le Jeudi 15 mai 2014 à 13:20
Et ce vide, lorsque cette personne n'est pas là...
Par Lundi 19 mai 2014 à 20:37
le Oh, à ce point! Merci beaucoup, dis donc!
Moi c'est celui ci qui me fait rêver : les mots posés sur l'indicible de l'autre
Moi c'est celui ci qui me fait rêver : les mots posés sur l'indicible de l'autre
0
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://domingo.cowblog.fr/trackback/3265210