"Tu t'es trop entrainée à être forte devant moi. tu as le droit d'avoir mal. je ferai avec, le monde fera avec."
domingo
j'ai ouvert la cage en la refermant derrière moi. et puis surtout, je t'ai bailloné.
Lundi 14 octobre 2013 à 22:25
Commentaires
Par topinambour le Mardi 15 octobre 2013 à 17:48
C'est rare de trouver quelqu'un qui nous dit ça...
Par Mercredi 16 octobre 2013 à 14:50
le Qu'est devenu ton ancien blog...un nouveau souffle?
Par Mardi 22 octobre 2013 à 10:41
le Bonsoir. J'aime bien ton mode répétition :P
J'aime bien aussi cette phrase, que j'ai pas mal expérimentée. Parfois c'est en montrant ses faiblesses qu'on tisse des liens plus fort avec des gens qu'on ne soupçonnais pas.
Merci pour ton petit mot. L'attente, on n'y a même pas eu droit. A peine quelques heures. Mais je compatis avec toi. Il n'y a rien d'inhumain à presque espérer un mort lorsque l'attente dure autant. A la fin, je n’espérais que sa libération au travers de cette froideur. Au moins la souffrance s'arrête.
Même si je ne connais pas le contexte et les détails, je t’envoie du courage ;)
J'aime bien aussi cette phrase, que j'ai pas mal expérimentée. Parfois c'est en montrant ses faiblesses qu'on tisse des liens plus fort avec des gens qu'on ne soupçonnais pas.
Merci pour ton petit mot. L'attente, on n'y a même pas eu droit. A peine quelques heures. Mais je compatis avec toi. Il n'y a rien d'inhumain à presque espérer un mort lorsque l'attente dure autant. A la fin, je n’espérais que sa libération au travers de cette froideur. Au moins la souffrance s'arrête.
Même si je ne connais pas le contexte et les détails, je t’envoie du courage ;)
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